
Par Nicolle Esterolle C’est parce qu’il est l’artiste le plus marrant sur la place de Paris et le plus fouteur de gueule devant l’Eternel, que Lavier a été reconnu par la critique d’art officielle, comme l’un des quatre ou cinq « plasticiens » les plus « majeurs » de l’art contemporain français… Lavier exhibant la peinture faite par un âne avec sa queue Il était au départ horticulteur, mais « C’est lorsque je me suis aperçu que l’art contemporain n’était pas de l’art que je suis devenu artiste contemporain », dit-il lui-même, farceur comme son maître Duchamp… Et tous les nervis de la culturocratie du ministère et des réseaux subventionnés de s’exclaffer en rond pour bien marquer qu’ils sont de connivence avec cette bonne blague, pour signifier aussi qu’ils possèdent les codes permettant d’en déchiffrer la « savante » autant que kolossale finesse et qu’ils se reconnaissent entre gens de la communauté des tarés du duchampisme consanguin. Lavier expose donc à la Monnaie de Paris, à la suite de…