
4 avril 2021 Charles Gave Deuxième partie du papier sur le Keynésianisme comme source de tous nos malheurs Dans l’article de la semaine dernière, j’expliquai pourquoi des taux anormalement bas (le premier pilier du keynésianisme) ne pouvaient mener qu’à des désastres économiques. Dans ce second papier, je vais m’essayer à montrer que la croissance des dépenses étatiques, le second pilier de la pensée, sic, Keynésienne vient à chaque fois finir le travail commencé par une politique monétaire débile en interdisant toute croissance économique puisque l’Etat va monopoliser l’épargne disponible pour financer des transferts sociaux inutiles ou frauduleux et des châteaux en Espagne qui ne rapportent jamais rien. Commençons par un état des lieux. Pour ce faire, je ne connais pas de meilleur exemple que la France, puisque le secteur public n’a cessé de monter par rapport au secteur privé depuis 45 ans, ce qui veut dire que les autorités françaises ont suivi à la lettre les recommandations de Keynes. A noter que contrairement à la Grande-Bretagne, nul ne peut voir,…